𝐋𝐞 🆂🆃🆁🅴🆂🆂, 𝐥𝐞 𝐦𝐚𝐥 𝐝𝐮 𝐬𝐢𝐞𝐜𝐥𝐞 : 𝐯𝐫𝐚𝐢 𝐨𝐮 𝐟𝐚𝐮𝐱 𝐝𝐚𝐧𝐠𝐞𝐫 ?

Nous aimons tous être au calme, détendu et reposé mais relâcher la tension du quotidien est difficile & l’énergie que l’on dépense pour affronter nos tracas est conséquente.
En effet, dès le réveil, la charge mentale s’accumule (se préparer, s’occuper des enfants, le travail, les courses, l’entretien de la maison…) et nous sommes épuisés avant même d’avoir commencé la journée.
Et à la fin de cette même journée, nous n’avons pas assez de temps pour se détendre et prendre soin de soi. Arrivent alors les problèmes d’endormissement, réveils nocturnes, et la fatigue s’accumule… et le stress aussi.
 
Ensuite, votre corps vous parle et essaye de vous prévenir : tensions, troubles du sommeil ou alimentaires, nausées, vertiges, etc… Mais vous n’écoutez pas et vous vous dites « une bonne nuit de sommeil et ça ira ! » ou « ça va aller, je me reposerais plus tard, dans une semaine c’est les vacances ».
Et moi je vous demande alors :
- Mais comment 7 ou 15 jours de vacances peuvent « réparer » des mois de lutte ??. Et vous le savez aussi bien que moi, puisque le retour au calme se faire sur 2 ou 3 jours, au mieux 1 semaine et ensuite, tout recommence :
Manque de confiance en soi, culpabilité, angoisse, tristesse, colères… le comportement est alors altéré… vous n’êtes plus vous-même… et le chemin mène alors vers la dépression parfois jusqu’au burn-out.
 
La faute à qui ?
Au Cortisol : c’est l’hormone du stress.
Lorsque nous sommes en état d’alerte cette hormone est produite par les surrénales.
Le stress chronique entraîne une sécrétion continue de cortisol. Seulement, un taux de cortisol élevé en permanence a des effets très négatifs sur notre santé mentale, cognitive, émotionnelle et corporelle, bref sur votre bien-être général.
Lorsque ça va mieux, notre cerveau envoie un signal pour diminuer cette production de cortisol et revenir à l’équilibre.
Pour cela, il faut s’aérer, faire du sport, lire… seulement voila, tout cela ne permet pas de stopper les ruminations à long terme.
 
La sophrologie stimule la production d’hormones spécifiques au bien-être : les endorphines et l’ocytocyne. C’est ainsi que nous aidons notre cerveau à s’apaiser et par conséquent à diminuer ce taux de cortisol.
Mais cela demande une certaine discipline personnelle, de s’accorder du temps et de se faire accompagner pour que cela se fasse dans les meilleures conditions et à long terme.
 
Mais attention, le stress est également un moteur, générateur de motivation et il est important de garder un équilibre à ce niveau.
Mon accompagnement vous aidera à retrouver vos pleines ressources, être en équilibre et garder le cap.
 
Pour en savoir plus, prenez rendez-vous pour maitriser votre stress.